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Israel, massacre à Gaza, Sarkozy fait du show médiatique...

...et la presse ose parler d’offensive diplomatique

 

Israël se livre à Gaza à une guerre en violation totale avec les règles internationales : non seulement les résolutions de l’ONU sont ignorée, mais le recours même aux Nations Unies contre les tirs de roquettes est totalement ignoré par le gouvernement israélien.

Ceci en dit long sur cet état voyou qui se permet de s’affranchir des lois de la communauté internationale.

Pire encore, l’armée d’Israël se livre à des crimes de guerre comme les tirs sur de écoles de l’ONU.

Malgré cela, ce pays bénéficie dans la communauté des pays riches d’une singulière complaisance puisque le président français continue à prétendre que la responsabilité des morts incombe au Hamas.

Pour soulager les consciences, la presse présente comme un avancée la trêve de 3 heures par jours. Pourtant cette trêve est le summum de l’hypocrisie. Cela veut dire : « ON TUE PENDANT 21H ET VOUS POUVEZ ENVOYER CERCUEILS ET MEDICAMENTS PENDANT 3H ».

Ce singulier aveuglement est bien sur l’effet des choix politiques qui font d’Israël l’avant poste du monde chrétien face aux hordes musulmanes, thème repris par le dernier avatar du buschisme, le gouvernement français.

Mais dans le refus des sanctions économique de l’union européenne, il faut aussi prendre en compte les intérêts des firmes capitalistes qui soutiennent , commercent avec Israël.

On comprend aussi pourquoi la presse est ainsi, ce sont des annonceurs importants...

Le tableau ci-dessous est édifiant, des grands groupes industriels français sont des soutiens, et des profiteurs de la politique israélienne. Des appels au boycott sont lancés ici et là, une discussion en cours sur l’utilité d’un tel appel.

Pourtant, avant tout appel organisé, il nous semble nécessaire de vous communiquer cette liste pour vous éviter d’avoir sur la conscience d’avoir payé les balles qui frappent les enfants de Gaza.

Et rassurez vous si vous n’achetez plus de produits de beauté vous ne réduirez pas à la misère une vieille dame dont la famille a déjà subventionné avant guerre les ligues factieu ses !

8 janvier 2009


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